L'absurdité de la "médecine à une vitesse" n'existe pas qu'en France, on la trouve aussi de l'autre côté de la Manche où sévit une sécu soviétique analogue à la nôtre, peut-être encore plus étatisée.
C'est chez Vincent Bénard (que je lis via le journal libertarien de Cozop - bloggeurs libéraux, n'hésitez pas à vous y inscrire) :
Faut-il laisser aux "riches" la possibilité de se soigner mieux ?.
Rappelons à l'intention des altercomprenants que toute richesse honnêtement acquise est légitime, quelle que soit son ordre de grandeur. On peut justifier cela aussi bien selon l'éthique déontologique du principe de non-agression que selon l'éthique conséquentialiste utilitariste : le riche finance et "teste" des produits et services qui par la suite auront vocation à se démocratiser (le chocolat, l'automobile, la télévision, les traitements médicaux de pointe, etc. ont été à leurs débuts réservés à une petite élite). En revanche, toute agression à l'égard de la richesse, qu'il s'agisse d'une agression de droit commun ou relevant du banditisme étatique (l'impôt), est illégitime.
28.2.08
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2 commentaires:
Qu'entendez-vous exactement par "honnêtement" dans la phrase : "Rappelons à l'intention des altercomprenants que toute richesse honnêtement acquise est légitime" ?
"Honnêtement" signifie sans agression d'autrui. Un chef d'entreprise qui bénéficie d'un privilège étatique (monopole, subvention, législation ad hoc, etc.) ne travaille pas honnêtement.
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